C’est cette phrase de la môme qui m’interpella. Pour une telle affirmation, il faut aduler un culte au smoking.
Et je me suis rendu compte du lien étroit qui la lie avec, elle me confie qu’elle a « toujours aimé cette pièce ».
Ce costume masculin, qui rentra dans le vestiaire féminin, grâce à Yves Saint Laurent (sa référence), pour permettre aux femmes plus de confort et de liberté, une liberté de mouvement, de choix, libre d’être une femme, une femme forte, envoûtante, libre, féministe, anti conformiste, à laise, sensuelle, fatale. .
Le smocking en étendard de la libération féminine et du style, casual chic.
Après ses confidences, j’ai compris cette adoration, cette addiction viscérale, il était inconcevable de ne pas proposer dans les collections des smockings.
Une môme sans smocking, une hérésie.
En étant aux côtés de la môme, j’ai eu droit à toutes les portes interdites au public.
Alors je me suis immiscé dans cette interstice, pour pouvoir vous proposer des avant premiers entre vous et moi.
Chut c’est un secret…